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Liste des membres réguliers
Barry, Amadou Diogo Beaulieu, Louis-David Bergeron-Leclerc, Christiane
Bizot, Dominic Bouchard, Kévin Brault, Marie-Christine
Cherblanc, Jacques Côté, Karine da Silva, Rubens A.
Dion, Jacinthe Duchesne, Élise Ertz, Myriam
Flynn, Catherine Gaboury, Sebastien Gauthier, Charles
Girard, Catherine Girard, Simon Langelier, Marie-Ève
Laprise, Catherine Lavallière, Martin Lavoie, Mélissa
Legault, Jean Maltais, Danielle Otis, Martin
Ouedraogo, Salmata Paquette, Linda Pouliot, Ève
Pulido, Loïc Ripoll, Lionel Simard, Chantale
Simard, Sébastien Sincennes, Marie-Claude Vézina, Hélène

 

Description des membres réguliers

Amadou Diogo Barry

Amadou Barry est statisticien avec une formation en mathématiques. Il est détenteur d’un doctorat en statistique à l’université du Québec à Montréal. Le professeur Amadou Barry a effectué un stage postdoctoral en biostatistique à Mcgill et à l’université du Québec à Chicoutimi avec le groupe de Catherine Laprise. Il est professeur à l’institut national de la recherche scientifique (INRS) au centre Armand-Frappier Santé Biotechnologie. Son laboratoire est situé à l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) au sein de l’Unité Mixte de Recherche INRS-UQAC en santé durable. Ses travaux sont axés sur l’intégration des expectiles et des quantiles à la modélisation statistique et à l’apprentissage machine pour l’analyse des données génomiques et de neuroimagerie.

 

 

 

 

Mots-clés : Expectile, m-quantile et quantile, statistique génomique et neurosciences, analyse longitudinale et de haute dimension, apprentissage machine et profond

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Louis-David Beaulieu

Louis-David Beaulieu est physiothérapeute et professeur en physiothérapie depuis août 2017 à l’UQAC. L’enseignement et la recherche du Prof. Beaulieu concernent la pratique de la neuroréadaptation, la biomécanique appliquée à la physiothérapie et l’utilisation de technologies innovantes (TMS, tDCS, rPMS, NMES, VIB) dans des conditions pathologiques affectant le système nerveux. Il s’intéresse à la clientèle AVC et l’utilisation des appareils de neurostimulation non invasifs comme approche innovante d’évaluation et de traitement des déficiences sensorimotrices.

 

 

 

 

 

Mots-clés : physiothérapie, stimulation cérébrale, AVC, vieillissement, prévention des chutes, outils pour la pratique en physiothérapie

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Christiane Bergeron-Leclerc

Christiane Bergeron-Leclerc, docteure en service social, est professeure à l’Unité d’enseignement en travail social de l’Université du Québec à Chicoutimi. Travailleuse sociale de formation, elle a œuvré au sein d’un hôpital psychiatrique, faisant de la « santé mentale » son champ de prédilection. En continuité avec son parcours clinique, elle s’intéresse, en tant que chercheure, aux pratiques psychosociales (ou complémentaires à l’intervention) qui s’inscrivent en soutien au processus de rétablissement des personnes ayant des problèmes de santé mentale ou des troubles mentaux diagnostiqués.

 

 

 

 

 

Mots-clés : Travail social et santé mentale, inclusion sociale et rétablissement, itinérance, approche centrée sur les forces, approches alternatives et novatrices en santé mentale, étudiants en situation de handicap, pandémie, COVID-19, spiritualité, scoping review

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Dominic Bizot

Dominic Bizot est professeur en travail social à l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC, Québec) depuis 2010. Depuis 2016, il dirige l’Unité d’enseignement en travail social. En France et au Québec, il a acquis depuis plus de vingt ans une expertise en éducation, intervention sociale et recherche auprès de diverses clientèles masculines en privilégiant le développement de pratiques interprofessionnelles et partenariales inclusives. Au Québec, D. Bizot développe depuis une demi-douzaine d’années une démarche de recherche visant à mieux comprendre les réalités masculines et les stratégies mobilisées par les hommes pour leur propre mieux-être et celui de leur entourage. Chef de file en matière de conception et de gestion de projets de recherche en lien avec la demande d’aide et l’offre de services psychosociaux aux hommes ayant comme levier la dimension partenariale, il est largement reconnu au sein de son établissement d’enseignement et dans sa région. Depuis 2010, Dominic Bizot a reçu un peu plus de 2 000 000 $ en subventions et contrats en tant que candidat, co-candidat ou co-chercheur. En assumant comme candidat la gestion de plus de 600 000$, il a pu acquérir une grande expérience de direction de projet. Notons qu’il fait partie des rares chercheurs qui ont obtenu des subventions des trois grands fonds de recherche du Canada et du Québec (IRSC, CRSH, FQRSC).

Mots clés: réalités masculines, demande d’aide des hommes, adaptation des services psychosociaux, santé masculine

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Kévin Bouchard

Professeur au département d’informatique et de mathématique depuis août 2016, Kévin Bouchard a complété son doctorat en sciences et technologies de l’information en 2014. Il a effectué un postdoctorat en intelligence ambiante pour le support de personnes ayant subi des traumatismes crâniens à l’Université de Sherbrooke avant de faire un bref passage au CASAS de Washington State University. Il a ensuite travaillé comme Project Scientist au Center for SMART Health à l’University of California Los Angeles où il a mené un projet de déploiement technologique d’un système de support à la réadaptation présentement déployé dans plus de 600 appartements à Santa Monica. Il est membre régulier du laboratoire le LIARA et ses intérêts de recherche concernent principalement l’exploitation de l’intelligence artificielle et de l’apprentissage machine pour le développement de technologies pour la santé. Il a, entre autre, appliqué son expertise aux jeux sérieux, à la détection automatique de phénotypes liés aux maladies rare dans les articles scientifiques, à la reconnaissance d’activités à partir d’informations spatiales qualitatives et à l’élaboration de systèmes d’aide à la décision pour diverses clientèles. (voir publications)

Mots-clés: intelligence artificielle, apprentissage machine, fouille de données, raisonnement spatial qualitatif, technologie d’assistance, jeux sérieux, systèmes experts, systèmes de support à la décision

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Marie-Christine Brault

Marie-Christine Brault est sociologue et co-titulaire de la chaire VISAJ. Elle possède deux champs d’expertise, soit l’environnement scolaire et la sociologie de la santé. Elle s’intéresse plus particulièrement aux déterminants sociaux de la santé et à l’épidémiologie sociale en vue de détailler la prévalence des maladies mentales. Elle étudie entre autres le TDAH avec une perspective sociologique, plus précisément les aspects de faux diagnostic et de surdiagnostic de cette condition. Elle s’intéresse aussi à la relation de l’enfant avec son milieu et des critères diagnostiques du TDAH. Elle possède également des aptitudes pour les méthodes quantitatives, les analyses multi-niveau (modèles transversaux d’un individu niché dans un contexte afin de déterminer l’impact et modèles longitudinaux) et les analyses mettant en relation âge-période-cohorte. Elle a obtenu deux subventions (FRQSC et CRSH) pour une étude sur le TDAH en milieu scolaire afin de mieux comprendre comment l’école identifie les comportements déviants des enfants et lui donne l’étiquette TDAH. Il s’agit d’un projet comparatif avec une cohorte européenne. (voir publications)

 

 

Mots-clés : chaire VISAJ, environnement scolaire, sociologie de la santé, TDAH, faux diagnostic, critères diagnostiques, analyses multi-niveaux

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Jacques Cherblanc

Jacques Cherblanc, Docteur en science politique (IEP Bordeaux, France) et PhD en sciences des religions (UQÀM), est professeur agrégé au Département des sciences humaines et sociales de l’Université du Québec à Chicoutimi où il est directeur de l’Unité d’enseignement en études religieuses, éthique et philosophie. Il est responsable du Laboratoire d’expertise et de recherche en anthropologie rituelle et symbolique (LERARS) et travaille sur les enjeux éthiques de l’intégration des approches spirituelles en santé et services sociaux ainsi qu’en éducation. Ses recherches actuelles portent principalement sur les déterminants du sens, de l’identité et de l’espoir dans les trajectoires de deuil, ainsi que sur les enjeux éthiques entourant la place et le rôle du spirituel et du religieux dans les institutions et les organisations publiques laïques. S’inscrivant résolument dans l’interdisciplinarité, Jacques Cherblanc se définit comme socioanthropologue et privilégie les approches méthodologiques mixtes pour expliquer et comprendre les phénomènes sociaux et humains dans leurs particularités, complexité et structure. (voir publications)

Mots-clés : Spiritualité, éthique, deuils, finitude, éducation, accompagnement, rites et symboles, yoga, pleine conscience, religions

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Karine Côté

Karine Côté est chercheure et professeure en psychologie à l’UQAC depuis août 2002. Elle s’intéresse notamment à la prostitution (juvénile et chez les adultes) ainsi qu’à la traite des personnes. Ses travaux visent à documenter le profil et les besoins des personnes qui offrent des services sexuels et à identifier les facteurs de risque et de protection qui font en sorte qu’une personne commence ou continue à offrir de tels services. D’autres travaux visent à développer des programmes de formation, de prévention et d’intervention auprès de diverses populations d’adolescents et d’adultes (exemples de contenu : services sexuels, prostitution, violence, ressources, consentement, lois, etc.). Elle travaille aussi sur l’influence de la famille sur le développement et sur le développement des personnes qui ont été adoptées à la naissance. Elle supervise des étudiants (baccalauréat et doctorat) intéressés par des sujets de recherches liés à la prostitution, la paraphilie, la marginalité, la sexualité et la délinquance. Elle enseigne des cours en psychologie clinique et en méthode de recherche. Elle est psychologue d’approche béhaviorale.

Mots-clés : psychologie, prostitution, facteurs de risques, facteurs de protection, influence de la famille, marginalité, délinquance, programme d’intervention

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Rubens A. da Silva

Rubens A. Da Silva Jr est détenteur d’un doctorat en Réadaptation de l’Université de Montréal. Il a complété deux stages postdoctoraux en santé et en prévention de chutes chez les personnes âgées (University of Ottawa et Florida International University). Il est actuellement professeur agrégé de l’unité d’enseignement en physiothérapie (DSS, UQAC), professeur adjoint du programme de physiothérapie de l’Université McGill et professeur collaborateur à l’international à l’UNOPAR-Brésil. Ses champs de recherche incluent la santé des personnes âgées, la prévention des chutes, les troubles musculo-squelettiques, l’équilibre postural, l’exercice comme outil thérapeutique et enfin, les pratiques en physiothérapie selon les données probantes. Ces sept dernières années, il a été professeur au Brésil ainsi que directeur d’un programme de maîtrise et de doctorat en sciences de la réadaptation à l’UNOPAR Londrina. Il est chercheur boursier au CNPq-Brésil depuis 2017, membre régulier de l’Ordre professionnel de Physiothérapie du Québec (OPPQ) et co-directeur de la clinique universitaire en physiothérapie du département des sciences de la santé à l’UQAC. Il a publié au courant des cinq dernières années près de 80 publications scientifiques dans des revues par les pairs et donné plus de 100 communications scientifiques reliées aux axes 1 et 2 de recherche du laboratoire BioNR.

Mots-clés : physiothérapie, prescription d’exercice, méthodologie, santé des personnes âgées, troubles musculo-squelettiques, prévention des chutes, équilibre postural

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Jacinthe Dion

Jacinthe Dion est psychologue et professeure-chercheure en psychologie clinique et développementale au Département des sciences de la santé à l’UQAC. Elle s’intéresse à l’adolescence et l’enfance, mais plus particulièrement aux contextes d’adversité (victimisation, violences dans les relations amoureuses, etc.) et leurs effets sur la santé des jeunes, autant physique, mentale et sexuelle. Elle mène des travaux sur l’effet de la victimisation sur la santé et le bien-être sexuel et psychologique des jeunes. Elle s’intéresse aussi aux facteurs de résilience, notamment chez les peuples autochtones. Un autre de ses projets se penche sur l’effet que peut avoir le sport chez les jeunes comme facteur de résilience. Elle travaille également sur des programmes de prévention pour aider les jeunes à se sortir de contextes d’adversités (violences sexuelles, violence dans les relations amoureuses, insatisfaction corporelle). Finalement, elle s’intéresse à la mobilisation des connaissances auprès de différents professionnels (cliniciens, psychologues, intervenants, enseignants) pour mieux les outiller face à ces problématiques. Elle utilise des approches collaboratives impliquant divers partenaires et communautés dans le processus de recherche, reconnaissant les forces uniques que chacun apporte aux projets réalisés. (voir publications)

Mots-clés : adaptation et bien-être des jeunes, contextes d’adversité, victimisation, santé des jeunes, résilience, facteurs de résilience, programme prévention, transfert de connaissance

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Élise Duchesne

Élise Duchesne est chercheure et enseignante en physiothérapie. Elle dispose d’une banque de tissu musculaire (biopsies de tissus musculaires) pour des patients atteints de dystrophie myotonique de type 1 (DM1). Elle s’intéresse à l’impact de l’activité physique sur le tissu musculaire chez les gens atteints de DM1. Elle a obtenu des fonds de la fondation du Grand défi Pierre Lavoie et de la fondation de l’UQAC. Elle a une étudiante au doctorat (codirection U Laval) qui a fait sa maîtrise avec elle également. Elle a enfin un intérêt pour les déterminants biologiques et l’étude des protéines. (voir publications)

 

 

Mots-clés : physiothérapie, dystrophique myotonique de type 1 (DM1), activité physique, tissu musculaire, protéines, déterminants biologiques

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Myriam Ertz

Myriam Ertz possède un Ph.D. en administration (boursière CRSH Joseph-Armand Bombardier) et dirige le Laboratoire de recherche sur les Nouvelles Formes de Consommation (LaboNFC). Ses travaux de recherche sont financés par plusieurs organismes provinciaux (FRQSC, RRECQ, FODAR), fédéraux (CRSH, MITACS), et internationaux (Academy of Marketing Science [AMS], Association Française de Marketing [AFM]). Elle s’intéresse aux nouvelles technologies dont les plateformes de communauté de patients en ligne ou l’Internet des Objets (IdO), et leurs effets sur les interactions entre patients ainsi qu’entre patients et professionnels de santé. Elle mène également des travaux sur l’économie circulaire et le marketing responsable en investiguant l’opérationnalisation du développement durable dans le secteur de la santé. Elle s’intéresse enfin à la mobilisation des connaissances auprès de différents professionnels (gestionnaires, professionnels, consultants, enseignants) pour mieux les outiller face à ces problématiques. La Dr Ertz a publié 81 articles dans des revues à comité de lecture, 21 chapitres de livres, 1 ouvrage (Éditions JFD), 2 ouvrages collectifs (PUQ, IGI Global), et a effectué plus de 35 communications dans des conférences arbitrées. Impliquée dans divers regroupements de chercheurs, elle est co-responsable de l’axe 1 « Gestion du changement et de la transition » du Réseau de recherche en économie circulaire du Québec (RRECQ), et est éditrice associée des revues Frontiers in Psychology et Frontiers in Sustainability.

Mots-clés : Communauté de patients en ligne, plateformes de pair-à-pair, économie de plateforme, marketing responsable, économie circulaire, comportement pro-environnemental, comportement pro-social, industrie 4.0, société 5.0

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Catherine Flynn

Catherine Flynn, Ph.D. est professeure au Département des sciences humaines et sociales à l’Université du Québec à Chicoutimi. Depuis près de 15 ans, ses travaux de recherche documentent les violences subies par les femmes issues de différents groupes marginalisés, dans une perspective féministe intersectionnelle. Elle s’intéresse également aux parcours de vie des femmes ayant vécu des situations d’itinérance au cours de leur vie. Ses travaux se déroulent selon des démarches de recherche en partenariat ou de recherche-action participative. Elle travaille aussi depuis 2015 à l’actualisation des pratiques féministes intersectionnelles dans les maisons d’hébergement pour femmes violentées.

 

 

Mots-clés : violence conjugale, violence faite aux femmes, itinérance

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Sébastien Gaboury

Sébastien Gaboury a un doctorat en mathématique et est directeur du laboratoire LIARA comptant 12 membres réguliers et 28 étudiants. Il s’intéresse à l’intelligence artificielle. Il travaille au développement de technologies d’assistance pour les personnes atteintes de déficits cognitifs ou physiques reposant sur la reconnaissance d’activités en temps réel grâce aux informations en provenance de différents types de capteurs. L’objectif est de doter l’environnement et/ou la personne de capteurs pour reconnaître ce qu’elle fait en temps réel. Il s’intéresse aussi à l’apprentissage automatisé pour la génération de connaissances à partir de données. En collaboration avec Élise Duchesne, son équipe a mis au point un bracelet à centrale inertielle qui reconnaît environ 5 à 6 activités physiques pouvant être prescrites à un patient atteint de DM1 afin de vérifier que celui-ci adhère bien au traitement. Son laboratoire met au point tous les composants pour leurs prototypes en plus du développement d’algorithmes adaptés. En collaboration avec l’UdeM et l’UQAM, il travaille à développer un jeu vidéo sérieux pour promouvoir l’activité physique chez une clientèle schizophrène. Il travaille aussi à la mise au point d’un appartement avec senseurs pour surveiller les occupants en temps réel. (voir publications)

Mots-clés : jeux vidéo sérieux, intelligence artificielle, apprentissage automatisé, technologie d’assistance, déficit cognitif et/ou physique, compliance aux traitements physiques

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Charles Gauthier

Le Dr Charles Gauthier a réalisé des études de doctorat en chimie des produits naturels à l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) suivies de stages postdoctoraux en chimie des carbohydrates à l’Institut Pasteur de Paris et en chémobiologie à l’Université d’Oxford en Angleterre. Après un séjour comme Maître de Conférences à l’Université de Poitiers en France, le Dr Gauthier s’est joint en 2016 au corps professoral du Centre Armand-Frappier Santé Biotechnologie de l’Institut national de la recherche scientifique (INRS). Son groupe de recherche fait maintenant partie de l’Unité Mixte de Recherche (UMR) INRS-UQAC en santé durable qui est basée sur le campus de l’UQAC. Le Professeur Gauthier possède une expertise dans la synthèse multi-étape de glycans microbiens et de leurs mimes en vue de développer des agents prophylactiques et thérapeutiques. Ses travaux de recherche actuels sont financés par plusieurs organismes provinciaux (FRQS, FRQNT, RQRM), fédéraux (CRSNG, IRSC) et internationaux (Réseau Institut Pasteur International, NIH, FNRS). Le Dr Gauthier a publié plus de 50 articles dans des journaux révisés par les pairs et a été invité à présenter ses travaux à de nombreuses reprises. Impliqué dans divers regroupements de chercheurs, il est directeur de l’axe « chimie thérapeutique » du Réseau québécois de recherche sur les médicaments (RQRM).

Mots-clés : Chimie des glucides, chimie des produits naturels, chémobiologie, agents thérapeutiques, antibiotiques, vaccins synthétiques, adjuvants de vaccins, glycans microbiens, polysaccharides

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Catherine Girard

Catherine Girard est professeure en microbiologie à l’UQAC. Elle s’intéresse à la réponse des microorganismes aux changements climatiques, et à comment ils impactent la santé humaine et environnementale. Elle utilise des méthodes omiques pour explorer le patrimoine microbien, particulièrement en Arctique, où elle œuvre avec des partenaires autochtones pour comprendre comment le réchauffement transforme l’écologie microbienne des paysages nordiques et les ressources qui en sont tirées. Elle s’intéresse aussi à la manière dont les savoirs traditionnels autochtones et les savoirs générés en laboratoire peuvent être maillés pour répondre à des questions complexes. Elle s’intéresse également aux pathologies d’origine virale, et comment les espèces migratrices peuvent être des vecteurs de transport pour les virus vers les communautés du Nord. En tant que chercheure, elle adopte une approche collaborative avec ses collaborateurs du Nord, et vise à co-construire des projets de recherche interdisciplinaires avec des collaborateurs allochtones et autochtones, pour mailler les savoirs.

 

 

Mots-clés : écologie microbienne, biologie moléculaire, microbiomes, recherche collaborative, virologie, biomarqueurs microbiens, services écosystémiques, changements climatiques, COVID-19, séquençage nouvelle génération

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Simon Girard

Simon Girard détient un baccalauréat en bioinformatique. Il a fait ses études graduées sur les facteurs génétiques expliquant des maladies neurologiques comme la schizophrénie et l’épilepsie. Il entame donc sa carrière de chercheur avec deux domaines d’intérêt principaux, l’étude des facteurs génétiques pouvant conduire à l’épilepsie et à la schizophrénie ainsi que la génétique des populations québécoises. Les méthodes d’analyse employées dans les dernières années n’ayant pas été particulièrement efficaces pour trouver des causes génétiques aux maladies neurologiques ayant une composante héréditaire, nous devons maintenant travailler à développer de nouvelles méthodes pour expliquer ces maladies complexes, ce que fait Simon Girard en prenant en compte la structure de la population dans ses études sur l’épilepsie pour cibler des segments génomiques partagés afin de restreindre les régions où chercher, en utilisant aussi l’ADN non codant plutôt que seulement le codant ou encore en étudiant de nouveaux types de variations comme les variants structuraux (SVs) et les courtes répétitions (STRs) ou de nouvelles techniques de séquençage comme les longues molécules (long reads) en lien avec ces maladies. De plus, il est intéressé par la structure de la population québécoise, particulièrement en remettant l’accent sur l’utilisation des généalogies provenant du projet BALSAC combinée avec la génétique. Ainsi, il est possible de reconstruire partiellement le génome des ancêtres dans la généalogie et d’utiliser l’information génétique conjointement avec des traits démographiques comme la longévité ou la fécondité dans le but d’identifier des facteurs génétiques associés à ces traits. (voir publications)

Mots-clés: génomique, génétique des populations, neurogénétique, bio-informatique, épilepsie, schizophrénie, bio-informatique

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Marie-Ève Langelier

Marie-Ève Langelier est médecin de famille, psychothérapeute et guide de méditation pleine conscience. Elle a pratiqué et enseigné la médecine pendant 7 ans au CIUSSS Saguenay Lac St-Jean avant de se joindre à l’équipe de professeurs de l’Unité d’enseignement en intervention plein air de l’UQAC en 2021. Passionnée de plein air, elle s’intéresse principalement au contact avec la nature comme facteur de protection à diverses problématiques de santé mentale et physique. Elle utilise et évalue l’intervention par la nature et l’aventure comme modalité de traitement complémentaire pour les adultes vivant avec un trouble de santé mentale dans le but d’améliorer leur bien-être, de briser leur isolement et de les encourager à cultiver de saines habitudes de vie. Elle croit en l’importance de l’interdisciplinarité et à la combinaison des approches afin d’aider les personnes vivant avec un trouble mental diagnostiqué à entretenir un niveau de fonctionnement satisfaisant et une santé mentale florissante. Elle collabore donc avec plusieurs disciplines (ergothérapie, travail social, psychologie, sociologie, santé publique, éthique, éducation) et avec le milieu communautaire.

Mots-clés : santé mentale, intervention par la nature et l’aventure, troubles anxieux, prévention, promotion de la santé, saines habitudes de vie, bains de forêt (Shinrin-Yoku), autogestion des symptômes, pleine conscience

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Catherine Laprise

Catherine Laprise est chercheure et professeure au département des sciences fondamentales. Elle s’intéresse principalement à l’asthme et l’allergie, deux maladies complexes résultant d’une interaction entre une composante génétique et environnementale. Elle a donc mis sur pied une cohorte d’asthmatiques et de leurs familles (plus de 1300 individus) pour lesquels une grande quantité de données sont disponibles (génétique et phénotypique). Les mécanismes épigénétiques, soit les marques laissées par l’environnement sur le génome, sont également une de ses thématiques de recherche importante, toujours dans un contexte d’asthme et d’allergie. Elle mène également des travaux sur l’épidermolyse bulleuse simplex (EBS), une maladie rare de la peau, dans le but de corriger des cellules de patients atteints pour obtenir de nouvelles avenues de traitements (grâce à la technologie CRISPR-Cas9, une technologie de correction de l’ADN). Elle travaille aussi à un nouveau projet, soit d’évaluer l’impact de la désensibilisions aux allergies chez les enfants en étudiant leur épigénome (marques épigénétiques sur tout le génome) et leur microbiome (population et diversité bactérienne au niveau du système digestif). Elle serait aussi intéressée à faire une collaboration en vue d’évaluer le bien-être et le niveau d’anxiété chez les enfants et la famille des enfants atteints d’allergie et participant au programme de désensibilisation. (voir publications)

Mots-clés : asthme, allergie, épigénétique, génétique, cohorte familiale, EBS, CRISPR-Cas9, désensibilisation aux allergies, microbiote, déterminants génétiques, déterminants environnementaux

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Martin Lavallière

Martin Lavallière est professeur-chercheur au Module d’enseignement en kinésiologie. Il s’intéresse au contrôle et à l’apprentissage moteur, ainsi qu’à la biomécanique et aux modèles de vieillissement dans des contextes de sécurité routière et de santé et sécurité au travail. Plus particulièrement, il étudie les impacts du vieillissement, des distractions au volant, et les diverses modalités d’évaluation et de formations portant sur l’amélioration de la conduite automobile. De plus, il travaille en collaboration avec la police de Saguenay afin de déterminer l’impact des campagnes de lutte contre la conduite avec capacités affaiblies et les ressources déployées par la sécurité publique. Plusieurs collaborations de recherche sont aussi en cours avec différentes organisations regroupant des premiers répondants (ex. policiers, paramédics) ou différentes entreprises afin d’améliorer leurs santé et sécurité au travail par une approche d’intervention ergonomique.

 

 

 

Mots-clés : kinésiologie, apprentissage et contrôle moteur, vieillissement, impacts des distractions au volant, ataxie, ergonomie, facteurs humains, sécurité routière, santé et sécurité au travail

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Mélissa Lavoie

Mélissa Lavoie est professeure au Module des sciences infirmières. Elle s’intéresse à l’éducation thérapeutique des personnes atteintes de maladies chroniques particulièrement les maladies chroniques dégénératives telles que les maladies neuromusculaires. En raison de la nature complexe des maladies neuromusculaires, les personnes qui en sont atteintes font face à plusieurs défis dans l’autogestion de leur santé et en découlant nécessite un soutien à l’autogestion continu de la part des professionnels de la santé. Elle travaille sur le développement d’interventions éducatives adaptées à ces populations incluant des outils d’autogestion et d’évaluation des interventions. En parallèle, elle s’intéresse aussi à la sécurisation culturelle dans les soins de santé auprès des Premiers Peuples. Elle est ouverte aux collaborations, plus particulièrement avec des chercheurs intéressés aà la promotion de la santé et prévention de la maladie, l’éducation à la santé, la numératie en santé et la sécurisation culturelle.

Mots-clés: infirmière, éducation à la santé, empowerment

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Jean Legault

Jean Legault est chimiste de formation. Il a obtenu une maîtrise et un doctorat en biologie moléculaire et cellulaire au Centre Hospitalier de l’Université Laval. Au cours de ses études graduées, il a travaillé principalement sur les systèmes antioxydants cellulaires et les dommages à l’ADN. De 1997 à 2001, il a réalisé un premier stage postdoctoral en pharmacologie moléculaire au centre de recherche de l’hôpital St-François d’Assise et un second en développement préclinique des médicaments à l’Institut National de la Santé et de la recherche médicale en France. Depuis 2002, Jean Legault est professeur à l’Université du Québec à Chicoutimi où il enseigne la biochimie, la pharmacologie et la biologie cutanée. Ses travaux de recherche s’intéressent principalement à la valorisation des produits d’origine naturelle (PON) issus des végétaux pour des applications dans les secteurs pharmaceutiques, nutraceutiques et cosméceutiques. Il a publié plus de quatre-vingt-dix articles scientifiques portant principalement sur l’activité biologique in vitro et in vivo des PON notamment les activités anticancéreuse, antibactérienne, antifongique, antivirale, anti-inflammatoire et antioxydante. Il s’intéresse également à l’étude des mécanismes d’action moléculaire des PON afin de mieux comprendre leurs effets sur le métabolisme cellulaire.

Mots-clés: Produits d’origine naturelle, activités biologiques in vitro et in vivo, mécanisme d’action, anticancéreux, antibiotique, antifongique, antiviraux, anti-inflammatoire, anti-oxydant

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Danielle Maltais

Danielle Maltais, Ph.D., est depuis janvier 1994 professeure à l’Unité d’enseignement en travail social à l’Université du Québec à Chicoutimi. Elle assume la direction de la Chaire de recherche institutionnelle intitulée : Événements traumatiques, santé mentale et résilience depuis novembre 2015. Détentrice d’un doctorat en sciences humaines appliquées de l’Université de Montréal, elle œuvre depuis plusieurs années dans le domaine des conséquences des catastrophes et des événements traumatiques sur la santé des individus et des intervenants. Elle détient une maîtrise en travail social et un baccalauréat en science politique. Depuis 1985, elle a participé à l’élaboration et au développement de projets de recherche en promotion de la santé. Ses champs d’expertise en gérontologie sont ceux des relations entre l’environnement et les comportements des personnes âgées, le support aux aidants naturels et l’intégration sociale des personnes âgées. Depuis 1996, elle a développé un champ de recherche sur les conséquences des événements traumatiques sur la santé des victimes et des intervenants rémunérés ou bénévoles appelés à appliquer les mesures d’urgence. (voir publications)

Mots-clés: événements traumatiques, santé post-désastre, impacts des événements traumatique, intervention en situation de crise

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Martin Otis

Martin Otis est un professeur ingénieur au département des sciences appliquées de l’Université du Québec à Chicoutimi depuis 2010. Il est responsable du Laboratoire d’Automatique et de Robotique interactive (LAR.i). Il s’intéresse particulièrement aux technologies des systèmes cyber-physiques et à la mécatronique. Les domaines de recherche portent sur la réduction des risques de chute lors de la marche, l’optimisation des systèmes interactifs (cobotique, mécatronique, système dynamique en boucle fermée) dans des situations réalistes, l’optimisation de la boucle d’interaction (perception-décision-action) et l’identification avec la modélisation des processus en boucle fermée (équilibre, retour sensoriel). Il contribue à l’automatisation des processus et des procédés par la conception d’algorithmes temps-réel innovants et de mécanismes sériel, parallèle et mobile en interaction avec des systèmes autonomes intelligents. Ses travaux de recherche ont été financés par la FCI, le FRQ-NT, le Ministère de l’économie et de l’innovation, le CRSNG, SOVAR et des contrats de recherche privés. Il est diplômé en génie électrique option asservissements de l’Université de Sherbrooke dont il a aussi complété une maîtrise en microrobotique mobile implantable dans le corps humain réalisée avec le Groupe de recherche en appareillage médical de Sherbrooke (GRAMS). Il a complété un doctorat à l’Université Laval dans le laboratoire de robotique et le LVSN dont la contribution porte sur la conception et la commande des mécanismes parallèles interactifs comme interface de locomotion appliquée en réalité virtuelle. La réduction des risques de chute lors de la marche est devenue le centre d’intérêt principal suite au post-doctoral à l’Univeristé McGill au Center for Intelligent Machine pour ces travaux de recherche dans le domaine de l’haptique utilisé lors de la marche.

Mots clés : retour sensoriel, équilibre, risque de chute, systèmes mécatroniques, cobotique, systèmes cyber-physiques, boucle de l’interaction, identification et modélisation

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Salmata Ouedraogo

Salmata Ouedraogo détient une maîtrise en économie de l’environnement (UOuagadougou) et un doctorat en économie appliquée (HEC-UConcordia- UMcGill-UQAM). Elle est professeure titulaire au département de sciences économiques et administratives de l’Université du Québec à Chicoutimi. Spécialisée en microéconomie appliquée au développement, elle s’intéresse aux problématiques de développement, telles que la pauvreté multidimensionnelle et la justice sociale, le genre, la santé, l’éducation et le développement durable. Par conséquent, son portfolio de recherche transpire une combinaison de ces thématiques. Son programme de recherche vise à la compréhension de ces problématiques sociales complexes et à contribuer au développement d’approches ou de politiques publiques axées sur les données probantes. Elle travaille actuellement sur l’analyse des programmes d’alimentation scolaire au Québec afin de comprendre les interdépendances entre les parties prenantes dans une perspective systémique liée à la cocréation de valeur publique. Elle s’intéresse également à la compréhension de l’impact des normes sociales sur l’entrepreneuriat féminin et les violences de genre dans les pays d’Afrique au sud du Sahara. Elle a reçu le titre de Chevalier de l’ordre de l’Étalon du Burkina Faso, distinction qui lui a été décernée pour son parcours et son implication dans l’enseignement, la recherche et la formation. Récemment, elle est nommée au Cercle d’excellence de l’Université du Québec.

Mots clés : Pauvreté multidimensionnelle, sécurité alimentaire, éducation, genre, développement.

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Linda Paquette

Linda Paquette est professeure agrégée en psychologie sociale et communautaire au département des sciences de la santé (UQAC). Psychologue clinicienne et chercheuse, elle a œuvré dans les centres jeunesses avant son arrivée à l’UQAC en 2010. Elle est membre chercheuse du Groupe de recherche et d’intervention sur la présence attentive (GRIPA-UQAM). Ses expertises comprennent les mécanismes de régulation émotionnelle liés aux conduites à risque dans les pratiques sportives, la consommation de substances psychoactives et la sexualité à risque, ainsi que la psychométrie et l’évaluation de programmes d’intervention de groupe chez les adolescents et les jeunes adultes, incluant l’expédition thérapeutique et les interventions fondées sur la présence attentive (mindfulness, pleine conscience). Plus récemment, elle a développé un intérêt pour l’utilisation des indicateurs psychophysiologiques permettant d’évaluer l’impact des interventions thérapeutiques et des phénomènes psychosociaux, dont la fréquence et la variabilité cardiaque, l’activité galvanique dermale et l’analyse du mouvement. Elle s’intéresse également aux facteurs contextuels liés aux conduites à risque et au stress, notamment les effets psychophysiologiques et psychosociaux induits par la présence de caméras numériques et des réseaux sociaux dans le contexte sportif. Elle est actuellement impliquée dans des projets d’évaluation de programmes d’intervention dans le domaine de la présence attentive et de la réalité virtuelle visant le traitement du stress post-traumatique et de la dépendance, ainsi qu’à la validation d’un nouveau capteur psychophysiologique et de mouvement conçu spécifiquement pour faciliter la recherche sur ces thèmes.

Mots-clés : présence attentive (mindfulness, pleine conscience), intervention psychosociale par la nature et l’aventure, conduites à risque, sports à risque, mécanismes de régulation émotionnelle, psychophysiologie, stress post-traumatique, dépendance, adolescence, adultes émergents.

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Ève Pouliot

Docteure en travail social et bachelière en droit, Eve Pouliot est professeure en travail social à l’UQAC depuis 2006, où elle enseigne la déviance sociale, l’intervention sociale auprès des jeunes, l’intervention familiale et la méthodologie de la recherche. Cotitulaire de la Chaire de recherche UQAC-Cégep de Jonquière sur la vie et la santé des jeunes (VISAJ), elle est également chercheure régulière au Centre de recherche universitaire sur les jeunes et les familles (CRUJeF), au Centre de recherche Jeunes, Familles, Réponses sociales (JEFAR) et au Réseau Inondations InterSectoriel du Québec (RIISQ). Ces différentes affiliations l’amènent à s’intéresser aux jeunes et aux familles vulnérables dans différents projets de recherche et à l’évaluation des pratiques sociales qui s’adressent à ces populations. Depuis 2015, elle a eu l’occasion de mener des recherches en tant que chercheure principale sur les conséquences des catastrophes chez les enfants, les adolescent.es et les familles. Financés par plusieurs organismes subventionnaires (CRSH, IRSC, FRQ), ses travaux ont donné lieu à de nombreuses publications et conférences et ont eu des retombées importantes pour les milieux concernés. Lauréate de trois prix d’excellence en enseignement (Prix de la ministre en enseignement supérieur, 2022; Prix national 3M d’excellence en enseignement, 2022; Prix d’excellence en enseignement du réseau des UQ, volet Réalisation 2021), elle s’intéresse aussi à la pédagogie universitaire, aux inégalités scolaires et numériques chez les étudiant.es, aux pratiques d’enseignement inclusives et à l’approche du récit (Storytelling).

Mots-clés : Jeunes et familles vulnérables / Protection de la jeunesse / Exposition à des évènements traumatiques / Catastrophes naturelles et technologiques / Santé globale des jeunes / Rôles parentaux / Compétence parentale / Représentations sociales / Jeunes adultes faiblement scolarisés / Approche centrée sur les forces / Résilience / Évaluation de programmes / Politiques sociales et législations / Pédagogie universitaire en travail social

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Loïc Pulido

Loïc Pulido est professeur en développement global en contexte éducatif au département des sciences de l’éducation de l’UQAC. Ses travaux de recherche se répartissent en trois axes. Le premier s’intéresse à l’apprentissage du langage écrit en contexte scolaire. Le second s’intéresse aux pratiques qui soutiennent la réussite éducative des élèves autochtones. Le troisième s’intéresse au développement des compétences des enseignants en contexte d’exercice professionnel. Il dirige le Consortium Régional de Recherche en Éducation du Saguenay Lac-Saint-Jean, une structure partenariale qui vise à soutenir et promouvoir les démarches de recherche participative en éducation.

 

 

Mots-clés : développement global, écriture, littéracie, recherche participative

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Lionel Ripoll

Lionel Ripoll est professeur et chercheur régulier à l’UQAC. Il s’intéresse au système de vectorisation des principes actifs, particulièrement dans le domaine des traitements du cancer. Il a obtenu une subvention de Prima et de MITAC pour développer des molécules cytotoxiques afin d’améliorer les soins dispensés en cancer. Il s’agit d’une chimiothérapie plus ciblée et efficace en plus d’avoir un mode d’administration davantage adapté. Il a un intérêt pour la peau puisqu’il est impliqué dans le DESS en cosmétologie. Il travaille sur un système d’administration (préparation galénique, donc crèmes et onguents) pour le traitement des tumeurs de la peau où 100 % des composés de la crème iraient pour traiter les tumeurs. D’ici les cinq prochaines années, il souhaite travailler sur d’autres maladies de la peau comme le psoriasis et l’eczéma. Il a aussi comme objectif de se rapprocher du CIUSSS afin de pouvoir faire des collaborations avec des médecins et des cliniciens qui œuvrent dans le même domaine. Il veut aussi récupérer de la peau provenant d’interventions chirurgicales afin de développer de nouveaux modes d’action pour les composés galéniques. (voir publications)

 

Mots clés : chimie, cancer, nanoparticules, cancer du poumon et cutané, préparations galéniques, principes actifs, chimie, mode d’administration, vectorisation des principes actifs

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Chantale Simard

Chantale Simard est infirmière et professeure-chercheure au Module des sciences infirmières de l’UQAC depuis 2009. Ancienne infirmière en pédiatrie, elle s’intéresse principalement aux soins oncologiques et palliatifs, ainsi qu’à la santé et à la résilience des familles. Ses travaux de recherche portent entre autres sur l’amélioration du bien-être et de la qualité de vie des personnes et de leur famille et ce, notamment en contexte d’éloignement des centres hospitaliers spécialisés, ainsi que sur deuil (enfants et adultes) et sur le développement de la pratique infirmière. Soucieuse des réelles retombées de la recherche sur les personnes et dans les différents milieux cliniques, elle mise particulièrement sur l’élaboration et l’évaluation de programmes d’interventions interdisciplinaires, utilisant une approche de recherche collaborative (personnes soignées/familles, équipe interdisciplinaire, gestionnaires, chercheurs), axée sur les forces.

Mots-clés : soins oncologiques, soins palliatifs et de fin de vie, résilience familiale, deuil, approche centrée sur les forces, approche centrée sur la famille.

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Sébastien Simard

Sébastien Simard est psychologue clinicien et chercheur s’intéressant à la psychologie de la santé. Ses intérêts de recherche portent sur la contribution des facteurs psychologiques et comportementaux dans la prévention et la promotion de la santé, l’adoption de comportements liés à la santé ainsi que l’adaptation aux maladies chroniques. Il étudie l’efficacité des interventions cognitives et comportementales auprès de diverses populations cliniques sur l’anxiété, la détresse psychologique, le sommeil, la fatigue et la gestion de la douleur. Il a plusieurs projets de recherche sur l’adaptation au cancer et les soins palliatifs. Il a mis au point un outil pour évaluer la peur de la récidive du cancer maintenant traduit et utilisé en plusieurs langues. Il s’intéresse aussi au travail en interdisciplinarité et à l’amélioration de l’organisation des soins et services de santé. Il collabore avec plusieurs disciplines en santé, dont la médecine, la réadaptation physique et les sciences infirmières.

 

Mots-clés : psychologie de la santé, psychométrie, promotion et prévention de la santé, approche cognitivo-comportementale, détresse psychologique, sommeil, fatigue, gestion de la douleur, oncologie, soins palliatifs, interdisciplinarité, organisation des soins et services en santé.

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Marie-Claude Sincennes

Marie-Claude Sincennes est professeure en génétique fonctionnelle au sein de l’Unité Mixte de Recherche (UMR) INRS-UQAC depuis janvier 2022. Elle a complété ses études doctorales à l’Institut de Recherche en Immunologie et en Cancérologie (IRIC), au sein du programme de biologie moléculaire de l’Université de Montréal. Elle a caractérisé l’importance de certains facteurs de transcription dans la biologie des cellules souches hématopoïétiques et dans le développement de leucémies. Par la suite, elle a effectué un stage postdoctoral à l’Institut de Recherche de l’Hôpital d’Ottawa, au cours duquel elle a participé à plusieurs projets visant à mieux caractériser la régulation transcriptionnelle dans les cellules souches musculaires. Elle a ainsi développé une expertise dans la biologie des cellules souches adultes et le contrôle de l’expression des gènes nécessaires à leur fonction. Son programme de recherche consiste à étudier comment l’expression des
gènes est perturbée dans certaines maladies neuromusculaires. Pour l’instant, elle s’intéresse particulièrement au rhabdomyosarcome, un type de cancer formé de cellules qui composent normalement le tissu musculaire. Elle emploie principalement des techniques de biologie moléculaire et cellulaire afin d’identifier les perturbations qui entraînent le développement et la survie des cellules de rhabdomyosarcome, ce qui permettrait de développer des thérapies ciblées.

Mots-clés : cellules souches, regénération musculaire, maladies neuro-musculaires, expression des gènes épigénétique. facteurs de transcription, biologie moléculaire

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Hélène Vézina

Hélène Vézina possède un doctorat en démographie et est professeure au département des sciences humaines et sociales de l’UQAC. . Son programme de recherche repose sur l’exploitation du fichier de population BALSAC et touche des problématiques de démographie historique et de génétique des populations. L’objectif général est d’élaborer un portrait démogénétique des populations régionales du Québec en analysant la structure généalogique à l’aide de BALSAC et en caractérisant les facteurs sociodémographiques qui ont façonné les bassins génétiques régionaux au cours des siècles. Une attention particulière est portée à la région du Saguenay–Lac-Saint-Jean en raison des spécificités de sa population, notamment en ce qui concerne les maladies héréditaires. Depuis 2010, elle dirige le Projet BALSAC en charge du développement et de l’exploitation du fichier de population. De 2013 à 2018, elle a piloté un projet financé par la Fondation canadienne pour l’innovation (FCI) visant à développer une infrastructure intégrée de microdonnées historiques sur la population québécoise (IMPQ). Elle travaille actuellement sur une nouvelle initiative financée par la FCI qui a pour objectif la création de i-BALSAC, une plateforme multisectorielle destinée à la recherche de pointe en sciences biomédicales et sociales.(voir publications)

Mots-clés : démographie, histoire de la population, génétique des populations, population québécoise, fichiers de population, jumelage des données, généalogies, effet fondateur, maladies héréditaires

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